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Jason de Phères : chef de la Thessalie au destin brisé

En 370 av. J.-C., dans la verdoyante Thessalie, Jason de Phères, qui projetait d’étendre encore son domaine en Grèce après ses victoires successives, est assassiné. Tyran de la cité de Phères, Jason avait imposé la Thessalie comme un acteur incontournable sur la scène grecque, comme jamais auparavant. Ses victoires au combat, sa maîtrise tactique et sa diplomatie adroite lui donnèrent des ambitions inédites de conquêtes en Grèce et peut être au delà. Une volonté finalement accomplie par les rois macédoniens Philippe II et un certain Alexandre III le Grand. Dans cet article, je vous propose de reconstituer le parcours extraordinaire de Jason de Phères, le conquérant au destin brisé.

Jason de Phères, chef de la Thessalie.
Jason de Phères, chef de la Thessalie et conquérant au destin brisé | un article inédit par Cédric LABROUSSE | Crédits : Tangopaso (Wikimedia) et Yanis Chloptsios (Pixabay).

La montée au pouvoir de Jason de Phères en Thessalie

La Thessalie est une région située dans le nord-est de la Grèce continentale. Terre fertile, tournée vers l’agriculture, et où le cheval avait une place centrale, elle fut régulièrement une puissance marginale dans la Grèce de l’époque classique. Parsemée de cités plus ou moins puissantes comme Phères, Pharsale ou encore Larissa, la Thessalie avait une identité bien particulière. A l’époque de la Grèce classique (aux Vème et IV siècles av. J.-C.), la Thessalie s’est organisée avec quatre tétrades qui, réunies sous un seul chef, forment la Confédération thessalienne. Ce chef de toute la Thessalie pouvait alors prétendre au titre suprême d’archonte. L’historien grec Hérodote lui attribue aussi le titre de basileus (que l’on retranscrira comme roi).

La Thessalie restait une puissance marginale. Parfois soumise, notamment par les rois de perses venus entre 490 et 480 av. J.-C. dans leur entreprise d’envahir la Grèce…

La Thessalie au IVème siècle av. J.-C.

Au début du IVème siècle av. J.-C., la Thessalie n’est plus unifiée et les cités grecques de la région sont rivales. Sparte et Athènes, anciennes grandes puissances en Grèce, sont essouflées après des décennies de guerre où la Thessalie s’impliqua parfois malgré elle. En Thessalie, les cités sont dirigées par des aristocraties. Larissa était par exemple dirigée par les Aleuades, qui assuraient descendre du demi-dieu Héraclès en personne. Enfin, la région est quasiment encerclée politiquement et géographiquement : au nord, elle est bordée par le royaume de Macédoine. Au sud, par Thèbes et la Béotie. Et à l’ouest par les tribus et royaumes comme ceux des Molosses d’Épire…

Les tyrans de Phères

Jason est né à Phères à une date qui ne nous est pas parvenue. On ne sait d’ailleurs que peu de choses sur sa jeunesse. Les auteurs anciens, comme les historiens, divergent quant à la famille de Jason. Il est cependant désormais régulièrement considéré comme le fils de Lycophron, tyran de Phères entre 406 et 380 (ou 390) av. J.-C.. Il était issu d’une riche famille aristocratique. Phères est alors une cité influente mais en rien une grande puissance. Elle est dirigée par Lycophron qui a transformé un régime aristocratique en tyrannie personnelle. Cependant, chef guerrier intraitable, il avait créé la haine des thessaliens qui lui refusèrent les pleins pouvoirs.

Généalogie de Jason et des tyrans de Phères
Généalogie de Jason et des tyrans de Phères | par Cédric LABROUSSE (Tous droits réservés) à partir des travaux de Marta Sordi, Slawomir Sprawski et des auteurs anciens Xénophon, Plutarque et Diodore de Sicile.

La Thessalie à l’époque de Lycophron Ier est fragile politiquement. Ainsi, elle avait subi une invasion par ses voisins macédoniens en 400, puis une intervention spartiate en 396 à Pharsale et enfin une cuisante défaite militaire contre Agésilas, roi de Sparte, en 394 av. J.-C. à la bataille de Narthakion. Sans parler des conflits internes entre thessaliens, notamment ceux s’opposant à Lycophron. Comment s’en relever ?

C’est dans ce contexte que Jason apparut comme tyran à la tête de la cité de Phères, vers 380 av. J.-C.

La construction d’une puissance politique régionale

Or, Jason est lui-même, pour vous dire la vérité, très-robuste de corps et d’ailleurs fort actif : il soumet journellement ses troupes à des épreuves ; il est en armes à leur tête, soit dans les gymnases, soit dans les expéditions.

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | Traduction.

Cavalier de talent, combattant investi aux côtés de ses hommes, Jason avait plusieurs objectifs à atteindre. Tout d’abord, Jason de Phères consolida son pouvoir en Thessalie. Pour cela, il doit convaincre les différentes parties de cette contrée. Au premier lieu desquelles : la cité de Pharsale, alors dirigée par Polydamas. Ce dernier avait certes demandé l’aide de Sparte contre Jason, qui le menaçait de prendre sa cité. Mais il lui avait finalement ouvert les portes, devenant son allié.

Vers 375 ou 374 av. J.-C., il est enfin à la tête de toute la Thessalie et prend le titre de tagos de Thessalie. Il n’est pas archonte, donc, mais tagos. Un titre inédit rapporté par Xénophon, jamais connu avant, fait pour lui même. Il mena une première intervention militaire sur la cité d’Histiaia (Histiée), sur l’île d’Eubée, où il aide le tyran Néogènes à prendre le contrôle de cette zone stratégique pour le passage des navires en mer Égée.

Cavalier de Thessalie. Stèle conservée au Musée du Louvre.
Cavalier de Thessalie. Les cavaliers formaient le cœur des stratégies militaires en Thessalie et Jason de Phères en fut un utilisateur régulier | Crédits : stèle du IVème siècle av. J.-C., découverte à Pelinna (nord de la Grèce), conservée au Musée du Louvre – photographie en 2016 par Tangopaso pour le fond Wikimedia.

La constitution d’une armée inédite

Jason de Phères était un homme à poigne. Pour assurer son contrôle sur la Thessalie et pour servir ses ambitions, il s’assura la création d’une puissante armée. Ainsi, devenu tagos de Thessalie, Jason s’assura l’usage des fameux cavaliers thessaliens. A cela, il fallait ajouter les puissantes troupes d’hoplites fournies par les cités. Et enfin les combattants envoyés par les voisins périèques. Une armée qui ressembla à une coalition de forces officielles, fournies par Phères, la Thessalie et ses alliés, et de forces privées, composées de mercenaires. Dont Jason de Phères se vanta à plusieurs reprises.

Tu sais aussi que j’ai à ma solde près de six mille étrangers, auxquels, je crois, aucune ville ne pourrait facilement tenir tête.

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | traduction.

Pour autant, il ne négligea pas les mers. Contrôlant le port de Pagases (ou Pagasai), principal port de Thessalie qui avait enrichi Phères, il put constituer une flotte de guerre. De fait, la flotte était fonctionnelle vers 371 av. J.-C. puisque Jason se dit prêt à l’envoyer en soutien à la Béotie quand elle luttait contre Sparte.

Jason de Phères à l’assaut de la Grèce

Jason tyran de Phères, homme expert en fait de guerre et qui s’était fait beaucoup d’alliés, prit ce temps-là pour engager les Thessaliens à aspirer à l’empire de la Grèce, qu’il regardait comme un prix proposé a tous ceux qui auraient le courage d’y prétendre. Il disait aux siens que les Spartiates venaient d’être abattus à Leuctres, que les Athéniens se contentaient de l’empire de la mer, que les Thébains n’étaient pas en état de soutenir leur supériorité présente et que les Argiens s’étaient affaiblis eux-mêmes par l’affreuse sédition dont ils sortaient. Les Thessaliens furent gagnés par cette espérance, et comme ils avaient déjà cédé à Jason leur gouvernement politique, ils lui confièrent encore tout ce qui concernerait cette guerre. Jason qui accepta l’offre, s’attacha d’abord quelques nations voisines et fit une alliance particulière avec Amyntas roi de Macédoine.

Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, Livre XV, Ier siècle av. J.-C., traduction par Terrasson.

Il me remontra, ce que je savais, que les Maraques, les Dolopes et Alcétas, gouverneur de l’Épire, lui étaient déjà soumis.

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | traduction par Eugène Talbot.

Désormais chef incontesté de la Thessalie, Jason se tourna vers les environs proches de son domaine. Dans un premier temps, il obtint la soumission d’Alcétas, roi des Molosses d’Épire. Avec ce dernier, il se rendit d’ailleurs à Athènes en 373 av. J.-C. pour soutenir le général Timothée poursuivi devant les tribunaux de sa propre cité.

Stratège brillant, Jason de Phères profita surtout d’une bataille à laquelle il n’avait pas participé. A Leuctres, deux grandes puissances s’affrontèrent en 371 av. J.-C. : Thèbes et Sparte. Thèbes remporta une victoire inédite, arrivant à vaincre les puissants hoplites spartiates. En toute logique, les thébains considérèrent qu’il fallait aller plus loin et battre définitivement Sparte. Pour arriver à leurs fins, ils en appelèrent à Jason. Marchant avec son armée, il alla à leur aide pour finalement… s’imposer comme médiateur. Les spartiates furent autorisés à rentrer chez eux, sans être harcelés par les thébains. Jason s’imposait alors comme l’homme fort de la Grèce, capable d’imposer ses vues. Ainsi, il avait empêché Thèbes de s’imposer. Et avait rendue Sparte redevable.

Revenant en ses terres, il mit cependant la main sur une nouvelle conquête supplémentaire : la région des célèbres Thermopyles. Pour cela, il s’élança sur la citadelle d’Héraclée, qui répondait de Sparte, visant à contrôler cette route stratégique dans le centre de la Grèce. S’étant emparé d’Héraclée et des Thermopyles, Jason de Phères se gardait la possibilité d’agir partout en Grèce

Les ambitions brisées de Jason de Phères

Des projets de pouvoirs en Grèce et… en Perse

Pour Jason de Phères, l’ambition alla croissante car il se voyait finalement capable de s’installer comme un hegemon (capable de réunir sous son pouvoir nombre de contrées grecques). Dans un premier temps, il avait scellé puis consolidé une alliance avec le roi Amyntas III de Macédoine. En conséquence, il avait désormais la main sur le bois macédonien, ressource essentielle dans l’Antiquité grecque dont même Athènes était dépendante. Considérant, selon Xénophon, qu’Athènes serait aisée à vaincre, et que Sparte serait trop faible désormais, il aurait peu à peu considéré de prendre le contrôle de la Grèce. Et même d’envahir l’ennemi de toujours : l’empire perse.

 Tu n’ignores pas, je pense, que, si le roi de Perse est l’homme le plus riche du monde, c’est qu’il tire ses revenus, non des îles, mais du continent. Or cet homme-là me paraît encore plus facile à soumettre que la Grèce ; car je sais que tous les hommes de son empire, sauf un, sont plus exercés à la servitude qu’à la vaillance

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | traduction par Eugène Talbot.

Ce projet d’expédition pour s’attaquer, sinon envahir, l’empire perse, semble confirmé par Isocrate, contemporain de Jason de Phères et de Philippe II de Macédoine.

Jason, sans s’être distingué par des exploits tels que les vôtres, s’est couvert de gloire, moins par ses actions que par ses paroles; il avait simplement parlé de passer en Asie et de faire la guerre au roi de Perse.

Isocrate, Philippe, rédigée en 346 av. J.-C., source.
Carte de la Grèce et de la Thessalie au IVème siècle sous Jason de Phères
Carte de la Grèce et de la Thessalie au IVème siècle av. J.-C. sous Jason de Phères | par Cédric LABROUSSE.

La marche prévue sur Delphes

Alors déjà reconnu comme l’homme le plus puissant de Grèce, il veut s’imposer symboliquement, politiquement, et peut être militairement à l’occasion d’un évènement très important pour les grecs : les célèbres Jeux pythiques. En 370 av. J.-C., Jason de Phères proclama son ambition de présider aux jeux de Delphes. Il revendiqua de fait le rôle historique de la Thessalie dans l’amphictyonie [une organisation chargée de gérer le sanctuaire] de Delphes. Par ailleurs, il n’hésita pas à annoncer qu’il marcherait avec son armée entière pour s’y rendre. De quoi faire naître des craintes de voir Jason de Phères s’emparer des richesses de la cité

 Il fit aussi avertir les Thessaliens de se préparer à entrer en campagne pour l’époque des jeux pythiques, car il avait dessein, disait-on, d’ordonner lui-même la fête en l’honneur du dieu et les jeux. Quelles étaient ses intentions à l’égard de l’argent sacré, c’est ce qu’on ne sait pas encore à présent; mais on dit que les Delphiens, ayant demandé à l’oracle ce qu’ils devaient faire, au cas où il prendrait l’argent du dieu, le dieu répondit qu’il en faisait son affaire.

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | traduction.

L’assassinat de Jason de Phères

Alors que ses préparatifs semblaient se multiplier, Jason de Phères organisa son plan. Delphes en serait donc la première étape. C’est durant la revue de ses troupes, préparées à marcher sur la cité d’Apollon, qu’il est assassiné par plusieurs jeunes hommes sortis des rangs. Alors qu’il écoutait des demandes d’habitants, il subit l’attaque de sept hommes. Bien que défendu par sa garde personnelle, il tomba. Mort. L’assassinat eut un grand retentissement en Grèce selon Xénophon.

Quoi qu’il en soit, cet homme si puissant et qui roulait dans sa tête tant de si vastes desseins, venait un jour de passer en revue sa cavalerie de Phéréens pour s’assurer de sa valeur. Au moment où il s’asseyait pour répondre à ceux qui s’approchaient pour lui faire une requête, sept jeunes gens s’avancèrent comme s’ils avaient un différend entre eux et l’assassinèrent et le massacrèrent.

Xénophon, Les Hélléniques, Livre VI, Chapitre I, IVème siècle av. J.-C. | traduction par Eugène Talbot.

Après la mort de Jason, la Grèce devient le terrain de jeu des thébains puis de la Macédoine

L’assassinat de Jason entraina l’effondrement de la puissance qu’il avait construit. Ses frères puis son gendre, et ses fils à la fin, se succédèrent mais sans réussir à maintenir la domination de Phères sur la Thessalie, s’entretuant parfois entre eux selon les auteurs anciens. Ainsi, la Thessalie retrouva une place marginale dans le jeu des pouvoirs en Grèce. Thèbes, débarrassée de la menace de Jason, put redevenir un acteur incontournable avec son célèbre commandant Épaminondas. Mais c’est dans le nord, en Macédoine, que les évènements se mirent en mouvement.

Philippe II était devenu roi de Macédoine. Décidé à profiter du chaos grec, il opta pour intervenir en Thessalie. Cependant, il lui manquait un argument pour agir sans apparaître comme un envahisseur. Heureux coup du sort, en 353 av. J.-C., il répondit à l’appel de la cité de Larissa et d’une partie de la Thessalie exigeant la fin de la menace représentée par les tyrans de Phères. Ses armées envahirent la région et Philippe se fit proclamer archonte de la Thessalie. Soutenu par le penseur Isocrate, qui avait connu Jason de Phères, Philippe est assassiné à son tour en 336 av. J.-C.. Par la suite, le trône fut repris par un jeune homme. Alexandre III de Macédoine est alors maître de la Grèce et vise un objectif qui fut un temps celui de Jason de Phères : envahir l’empire perse.

Pour aller plus loin sur Jason de Phères et la Thessalie

Auteurs anciens

Sur Jason de Phères

  • Slawomir SprawskiJason of Pherae, A Study on History of Thessaly in Years 431370 BC, publié en 1999 aux Jagiellonian University Press.
  • Slawomir Sprawski, « Jason of Pherae a leader of the Thessalians », mise à l’écrit d’une intervention en 2006. A consulter : ici.
  • Roland Étienne, « Jason de Phères et Philippe II : stratégies de deux condottieri », publié en 1999 dans Armées et sociétés de la Grèce classique, dirigé par Francis Prost, aux éditions Errance.
  • Cinzia Bearzot, « Isocrate et Phères : Jason et ses successeurs », publié en 2016 au sein de la revue Ktéma, volume 41. Pages 5 à 15. A consulter : ici.
  • J. Mandel, “Jason. The Tyrant of Pherae, Tagus of Thessaly, as Reflected in Ancient Sources and Modern Literature: the Image of the ‘New Tyrant’ », publié en 1980 dans la revue RSA, volume 10, pages 47 à 77.
  • Jean Hatzfeld, « Jason de Phères a-t-il été l’allié d’Athènes ? », publié en 1934 dans la Revue des Études Anciennes, 36-4, pages 441 à 461. A consulter : ici.
  • Karl Lemmermann, Jason von Pherai, publié à Iena, en 1927.
  • Henry Theodore Wade-Gery, « Jason of Pherae and Aleuas the Red », publié en 1924 au sein du The Journal of Hellenic Studies, Vol. 44, Partie 1, publié par la Society for the Promotion of Hellenic Studies.
  • Un passage d’intérêt dans l’ouvrage de James Romm, Le Bataillon sacré (traduction par Christophe Beslon), publié en 2022 chez BOUQUINS Éditions.

Sur la Thessalie

  • Pierre Carlier, « Observations sur les institutions thessaliennes » (texte édité par Christian Bouchet et Bernard Eck), publié en 2001 au sein de Poikilma: studi in onore di Michele R. Cataudella in occasione del 60e compleanno, sous la direction de S. Bianchetti, aux éditions La Spezia, Agorà, pages 253 à 265. A consulter : ici.
  • Bruno Helly, L’État thessalien. Aleuas le Roux, les tétrades et les tagoi, publié en 1995 aux éditions MOM. Consultable entièrement et gratuitement : ici.
  • Marta Sordi, La Lega tessala : fino ad Alessandro Magno, publié en 1958 aux presses de l’Istituto italiano per la storia antica.
  • Slawomir Sprawski, « The Maritime Policy of the Tyrants of Pherae », publié en 2020 dans la revue ELECTRUM, Vol. 27, pages 89–115, aux Jagiellonian University Press. A consulter : ici.
  • TOUJOURS DE RÉFÉRENCE BIEN QU’ANCIEN : Henry Dickinson Westlake, Thessaly in the Fourth Century B.C., publié en 1935 aux éditions des University of Washington Libraries [Consultable ici gratuitement et en entier].

Par Cédric LABROUSSE

Le 28 février 2023

Article inédit. Tous droits réservés.

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